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Le 11/9/23, Jérémie Mercier m'a de nouveau invitée afin que je présente mon livre synthèse de la théorie d'Antoine Béchamp.
C'est Jérémie qui m'avait déjà sollicitée à faire une synthèse en novembre 2022. C'était une véritable gageure étant donné l'ampleur de la tâche que j'ai remplie en conscience de l'importance de transmettre ces travaux incontournables.
Plus d'informations sur ce lien :
Aucun scientifique désormais ne nierait la présence d’un microbiome interne (1) dans les organismes sains, d’éléments vivants dans nos organismes longtemps considérés stériles dans leurs parties purement internes.
Le 27 décembre 1892 (2), lors d’une séance de l’Académie des Sciences, la dernière à laquelle assista Antoine Béchamp, un certain Armand Gautier avouait « malencontreusement » qu’il n’était pas question pour lui, de tenir compte des réflexions de quelqu’un dont il avait été décidé de faire le silence autour de ses travaux.
Proposez à un scientifique de lire les travaux d’Antoine Béchamp, çà lui apporterait un recul, une ouverture et surtout lui permettrait de comprendre qu’Antoine béchamp a compris le vivant comme aucun autre scientifique n’a su le faire. La réaction est systématiquement la même : une fermeture. Le débat est clos quand il n’est pas insultant.
Un scientifique n’est-il pas censé être ouvert, curieux, à l’affût de tout ce qui élargirait son champ d’observation ? Eh bien non, il s’interdit toute déviation d’une ligne fixée par formatage sans aucun doute.
Tout cela est le résultat d’un véritable conditionnement au microbisme, au « pasteurisme », à une désinformation évidente doublée d’une censure réelle.
En effet, qui a entendu parler d’Antoine Béchamp durant ses études ? Personne à ma connaissance. La conclusion vient d’elle-même, si on ne nous en parle pas c’est que cela n’en vaut pas la peine. Tant de chercheurs ont été exclus ainsi sans qu’aucune chance ne leur soit offerte. Le regretté Pierre Lance en a écrit un livre non exhaustif, en quatre tomes « Savants maudits - Chercheurs exclus » ; Que de génies ainsi perdus pour la science.
On ne se contente pas d’ignorer Antoine Béchamp, il faut bien s’assurer que personne ne s’y intéressera. Un peu de désinformation, juste ce qu’il faut, achèvera de freiner les velléités.
Le réflexe est en effet de regarder ce qu’en dit le système, wikipedia donc, en date du 30 octobre 2022 (1), pour trouver de quoi décourager le curieux:
J'étais l'invitée de Jérémie Mercier dans son émission "science en conscience" dont voici le replay :
Vous trouverez un diaporama du support de l'émission, plus détaillé que celui utilisé pour l'émission sur la page consacrée au livre d'Antoine Béchamp.
Le docteur Stefan Lanka a tenté de remonter à la source des "vérités" scientifiques qui ont conduit à la théorie virale.
Il explique dans cet article les manquements et interprétations qui l'ont amené à renoncer à son titre de virologue, remettant en question cette théorie.
Tout scientifique devrait s'interroger sur les bases sur lesquelles il s'appuie.
Antoine Béchamp disait "toujours partir du connu vers l'inconnu", "connu" étant un FAIT démontré et vérifiable.
Après avoir étudié la biologie moléculaire au MIT, le Dr Kaufman a obtenu son diplôme de médecine à l'université de Caroline du Sud, puis s'est spécialisé en psychiatrie au centre médical de l'université de Duke.
Des virus aux injections et aux médicaments, ce programme abordera les hypothèses de base qui sous-tendent l'ensemble du récit sur le covid.
Il est interviewé par Urmie Ray.
La traduction est faite par Jeanne Traduction et Urmie Ray.
Vidéo à partir du lien suivant :
La question est essentielle.
Penser que la maladie n'a pas de sens c'est ignorer à quel point la nature est bien faite.
Les Docteurs Olivier Soulier, Judith Rémy et Edouard Broussalian vous font part de leur expérience et de leurs observations dans cette video particulièrement enrichissante de l'émission "parlons santé".
https://www.youtube.com/watch?v=i1RNmmybJqM&t
De quoi s’interroger.
Mais n’est-ce pas la faculté première du scientifique de s’interroger encore et toujours, de chercher à comprendre sans cesse.
Alors franchement, quand on creuse, ce qu’on appelle la science « virologie » - puisque c’est le sujet crucial de nos vies devenues parallèles, instables plus que réelles et bien ancrées depuis qu’un virus est accusé de tous les maux et de toutes les phobies – eh bien oui, quand on creuse, on tombe sur du VENT, oui vraiment.
Cela fait donc un moment que je m’interroge, bien avant cette « crise ».
Cette notion de virus complètement alambiquée, une espèce de fourre tout de matériel génétique retrouvé dans les organismes, des fragments d’ARN, d’ADN simple, double, quadruple brin, décrétés étrangers à ces organismes et pour lesquels il a fallu trouver l’histoire de leur invasion. Histoire franchement fantaisiste qui a été acceptée sans rechignement, apparent en tout cas, parce qu’enseignée comme une vérité, encore une ! Donc admise.
Parce que être scientifique désormais, c’est avoir la « science », c’est à dire connaître ces « vérités » qu’on nous enseigne.
Et qu’apprend-t-on encore à ces « scientifiques », eh bien les méthodes, les techniques parfois sophistiquées pour « cultiver » ces virus, pour les analyser et les reconnaître. C’est magique ! C’est scientifique ! Ainsi convaincus de leur « science », les « scientifiques » appliquent scrupuleusement ces méthodes et techniques et s’émerveillent des résultats obtenus qu’ils interprètent à leur tour. Quelle imagination décidément !
Tout ce questionnement qui me harcèle depuis plusieurs années (1), travaille bien des scientifiques, de ceux qui ont compris que la première question qu’un scientifique doit se poser : est-ce que je pars sur de bonnes bases ? Non pas des « vérités admises », mais des « Faits observés » reproduits et reproductibles.
Donc je suis heureuse de trouver dans ce documentaire sous-titré en français, merci à cv19.fr, et cité entre autre dans la dernière chronique du Pr Marc Henry (2), une analyse de la situation prise avec recul et discernement, de mon point de vue.
Il est plus que temps de faire connaître tous ces points de vue jugés déviants par rapport à la « doxa », aux fameuses vérités admises donc.
J'ai traduit ce livre récent (2020) de Thomas Cowan dont le titre est très parlant, afin de vous faire profiter du recul que ce médecin, scientifique, a su prendre.
J'ai apprécié d'y trouver de nombreuses références que je recherchais.
Le bonus est l'épilogue qui est une véritable leçon de vie.
L'auteur propose dans ce livre une observation des Faits observés durant les épidémies sous un nouvel angle.
La science, petit à petit sortira de l'ornière dans laquelle, elle s'est engouffrée, grâce à ces nouvelles approches.
J'ai pris contact avec son auteur afin de lui faire connaître les travaux d'Antoine Béchamp, qu'il ignore encore, semble-t-il, et qui le confortera (et bien plus encore) inévitablement dans sa démarche.
Vous allez être surpris ! C'est très instructif et enrichissant.
"Les statistiques peuvent être nos meilleures alliées pour comprendre le monde qui nous entoure, comme la plus grande prison intellectuelle au service d’un discours unique."
Pierre Lecot, ingénieur statisticien, effectue un retour en arrière et explique sa démarche, son évolution durant cette "crise".
Sa rigueur de statisticien intègre, le pousse à approfondir les chiffres qui nous sont imposés bruts par les médias depuis 2 ans presque, sans jamais être mis en perspective, aucune, pour nous permettre de les replacer dans leur contexte.
En trois partie, interviewé par Xavier Azalbert (France-soir), Pierre nous explique son cheminement et ses analyses.
En particulier, en rapport avec ce site qui défend la théorie de Béchamp, Pierre constate une absence de propagation des maladies dites "épidémiques" mais plutôt une cause environnementale (vidéo 2).
Cet interview du Dr Valentina Kiseleva nous permet de prendre du recul sur la science "académique" et ses dérives.
Voici un dossier très instructif sur l'intérêt d'utiliser la Vitamine C à haute dose.
Ce dossier a été réalisé à partir des contributions de scientifiques lors du Congrès International de Santé Naturelle de 2017.
Je l'ai récupéré sur le site du Pr André Fougerousse, afin de vous fournir le lien direct.
Bonne lecture
Que vous inspire ce dessin de Patrick représentant la démographie française en 2020 ?
Choquée !
Je suis choquée par ces images dont les promoteurs ont réussi leur effet (1) lors de la présentation de l’émission « l’hôpital retient son souffle ». Intuber une personne est choquant, barbare.
Quand une personne a du mal à respirer, cela provoque en elle un manque d’oxygène, alors on impose par la force cet apport d’oxygène, comme un enfant que l’on force à manger quand il n’a pas faim.
De fait on agit directement sur le symptôme, encore et encore : on prétend aider cette personne à respirer en la faisant respirer de force.
Il y a plusieurs manières d'observer ce qui se passe dans cette "crise" du Covid-19 dite "pandémie" :
Dans les 2 cas, la qualité de notre terrain est importante :
Que serait le virus sous l'angle Béchamp ? Un microzyma propre à l'individu, rendu morbide par suroxydation (manque d'électron) du milieu et expulsé dans l'air par l'expiration comme de nombreux autres ; l'air en est rempli depuis la nuit des temps et les microzymas morbides perdent très vite leur morbidité.
Plusieurs données vont dans ce sens :
(2) https://twitter.com/DNA_RNA_Uni/status/1257048400970878979
En l'absence d'un vrai débat sur ce sujet controversé, en tant que parent, mais aussi en tant que médecin vous vous posez des questions légitimes.
Une collection écrite par le Dr Michel de Lorgeril dont voici une interview, analyse de manière objective les risques liés aux vaccins s'appuyant sur les études scientifiques et statistiques, vaccin par vaccin.
Un condensé du livre d'Antoine Béchamp est disponible au téléchargement.
Ses travaux sont d'avant-garde ; c'est une mine d'or pour les scientifiques : Un nouveau paradigme.
Les plus récentes recherches confirment ces travaux, mais les scientifiques manquent de recul et la méconnaissance de ces travaux est un véritable handicap.
Savez-vous que les scientifiques découvrent enfin que les zones "classiquement stériles" de notre organisme ne le sont pas ?
Un siècle d'erreurs scientifiques ! Mais les conséquences de ces erreurs ne sont pas tirées !
Pourtant, Antoine Béchamp l'avait compris, mais bien plus encore alors que la science tarde à prendre le recul nécessaire.
Voici un article que j'ai écrit pour l'AIMSIB *:
* Pensez à soutenir cette bienveillante association
CHOLESTÉROL :
LE MAL-AIMÉ QUI VOUS VEUT DU BIEN
Jamais dans toute l’histoire de la médecine vous ne pourrez lire, visionner, ne serait-ce qu’imaginer autant de versions différentes concernant l’importance ou la nocivité d’une simple molécule pourtant naturellement fabriquée par votre organisme : le cholestérol. Comment est-il possible que depuis sa découverte en 1814 par le chimiste français Eugène Chevreul, la communauté médicale et scientifique reste toujours aussi partagée quant à sa légitime place dans la biologie des Sapiens, c’est-à-dire : chez vous et moi ? ...
Lire l'article du Dr Vincent Reliquet
Il est possible d’accéder à la base de données européenne des rapports d’effets indésirables susceptibles d’être liés à l’utilisation de médicaments dont les vaccins.
Voici une recherche sur les issues des réactions suspectées reportées dans cette base. Il a fallu extraire les résultats pour chaque groupe de réactions et effectuer le total par produit. J’explique plus loin comment procéder ainsi que les récapitulatifs par vaccin et par pays.
Issues à octobre 2018 :
Chercheurs, scientifiques, microbiologistes, changez vos techniques d'observation et intéressez-vous aux granulations moléculaires prétendues amorphes alors qu’elles sont animées d’un mouvement soi disant "brownien" alors qu'elles ont une réelle vitalité.
Elles sont vivantes et vitales : nous construisent, nous structurent, nous organisent, nous renouvellent, nous entretiennent.
Elles nous survivent : elles sont les poussières qui restent après notre putréfaction qu’elles activent (*).
Jules tissot, en 1948, s'exprimait ainsi :
"J'ai jugé nécessaire de faire maintenant connaître comment, en France, on traite un travailleur désintéressé, qui n'a pour but que de faire progresser la lutte contre les maladies de l'homme et les procédés abominables qu'on emploie soit pour l'empêcher de faire connaître les notions nouvelles qu'il acquiert, soit pour le mettre dans l'impossibilité de continuer ses études.
L'exposé des notions nouvelles qui viennent d’être passées en revue ainsi que le contenu des premier et deuxième volumes de cet ouvrage démontrent que les recherches que je poursuivais étaient d'une importance capitale pour les progrès de la médecine et de la lutte contre les maladies.
C'est précisément pour empêcher la réalisation de ces progrès qu'un Institut scientifique a voulu étouffer les résultats de mes recherches.
On trouvera un exposé complet de la lutte qui a été engagée contre la divulgation des résultats de mes recherches scientifiques, à l'article de ce livre intitulé : L’étranglement de la liberté d’opinion et de discussion scientifique en France (page 207).
Celui qui a engagé cette lutte et consacré l'étranglement de la liberté d'opinion et de discussion scientifique en France, est le Professeur Roux, Directeur de l'Institut Pasteur, secondé par ses collaborateurs et par un secrétaire perpétuel de l'Académie des Sciences, non biologiste et incompétent.
Quel est le motif qui a incité le Professeur Roux à se livrer à des actes aussi graves et aussi répréhensibles ?
Ce motif, c'est un principe directeur qui a guidé l'Ecole pastorienne depuis trois quarts de siècle : l'étouffement de toute notion nouvelle qui démontre la fausseté des dogmes pastoriens ; avec plus de précision, c'est la publication du premier volume de l'ouvrage intitulé : Constitution des organismes animaux et végétaux. Causes des maladies qui les atteignent. L'étouffement des remarquables résultats des travaux de Béchamp a été le premier acte de cette lutte contre la vérité.
Les notions nouvelles que contenait le livre indiqué ci-dessus étaient :
1° La démonstration de l'inexactitude des dogmes pastoriens ;
2° La démonstration de la nature mycobactérienne des êtres vivants ;
3° La démonstration de l'existence de la formation autogène de virus dans l'organisme animal ;
4° La démonstration du mode d'évolution des bactéries et de l'inexactitude du dogme du monomorphisme bactérien ;
5° La démonstration de la nature bactérienne des leucocytes de l'organisme animal ;
6° La démonstration de l'origine animale ou végétale de tous les virus des maladies ;
7° La démonstration du procédé permettant de parvenir à la connaissance de la source originelle des virus, notamment des virus hétérogènes ;
8° La connaissance de la source originelle de certains virus, notamment de celle de la diphtérie, qui est la farine des céréales.
Ces faits étant de nature à provoquer l'écroulement de la bactériologie dogmatique et de l'échafaudage branlant des notions fausses imaginées et défendues par l'Ecole pastorienne, le Professeur Roux a jugé qu'il fallait à tout prix les étouffer, en empêcher la divulgation.
Il s'est trouvé chez nous, en quantité, des hommes pour défendre la liberté d'opinion de la presse politique. Dans les Académies et Sociétés savantes, pas un seul homme ne s'est levé pour défendre la liberté d'opinion, de discussion et de publication scientifiques.
En 1936, lors de la publication du deuxième volume de cet ouvrage, dans lequel j'ai établi la nature autogène et spontanée de la tuberculose et la nature et l'origine du bacille de Koch, organite haltère constructeur des éléments anatomiques adultérés par dégénération, la même comédie s'est reproduite. Des membres de l'Ecole pastorienne se sont oubliés jusqu'à venir, avec un groupe d'élèves, m'insulter grossièrement au cours d'une conférence publique que je faisais au Muséum d'Histoire Naturelle sur la nature et l'origine du bacille de Koch et de la tuberculose.
Depuis cette époque, un mot d'ordre a été passé partout, aux journaux médicaux, dans Ies Sociétés savantes, aux Commissions de la Caisse des Recherches scientifiques, aux travailleurs, même dans les laboratoires pour empêcher toute publication nouvelle et pour stériliser mes efforts en me faisant refuser l'attribution d'un aide technique et toute subvention, soit pour recherches, soit pour m'aider dans mes publications.
Cet antagonisme continuel, qui avait pour but de me mettre dans l'impossibilité de poursuivre mes travaux qu'on jugeait dangereux pour l'existence des dogmes faux de la bactériologie officielle et encore beaucoup plus pour des intérêts matériels considérables, eut pour résultat de faire de moi un travailleur qu'on fuyait comme un pestiféré ou comme un excommunié il y a quelques siècles et de me mettre dans l'impossibilité de trouver des collaborateurs.
Je dus, pour l'exécution de mes recherches, recourir à l'aide de mains inexpérimentées qu'il me fallut éduquer.
Les résultats exposés dans ce livre prouvent que la tentative d'étouffement pratique contre les résultats de mes recherches avait surtout pour motif la crainte qu'ils portent atteinte à des intérêts matériels considérables.
Il fallait que ces faits soient connus du monde médical qui, maintenant, jugera."
* **
Jules Tissot : extrait du vol 3 de son livre "CONSTITUTION DES ORGANISMES ANIMAUX ET VÉGÉTAUX - CAUSES DES MALADIES QUI LES ATTEIGNENT"
Que cache cette focalisation sur la rougeole ?
Voici une analyse de Michel de Lorgeril, médecin et chercheur au CNRS :
http://michel.delorgeril.info/ethique-et-transparence/pourquoi-la-rougeole-fait-la-une-de-lactualite
« Les microzymas sont à la racine même de l’organisation ;
sans eux pas d’organisation,
sans eux pas de matière vivante. »
Antoine Béchamp, Lille, 10 avril 1883
Ces "petits êtres" sont ceux qui organisent les êtres plus évolués (de la cellule, bactérie, végétaux, animaux, aux humains), mais aussi qui contrôlent leur fonctionnement, qui décomposent les matières inutiles. Une cellule qui se décompose redevient microzymas. "et tu redeviendras poussière" : ce sont des poussières vivantes, à l’origine de chacun de nous et propres à chacun de nous.
Afin de permettre de se faire une idée des travaux considérables d'Antoine Béchamp et de comprendre à côté de quoi la "science" est en train de passer, lancée sur une mauvaise voie par Pasteur, j'ai fait un condensé de son livre accessible par téléchargement.
Voir plus sur la page dédiée à la théorie d'Antoine Béchamp
Dimanche lors de la manifestation (peu suivie) pour la liberté vaccinale, j'ai rencontré une jeune femme dont l'enfant a présenté très rapidement des troubles autistiques après un vaccin ROR. Les médecins n'ont pas voulu reconnaître le lien avec le vaccin.
Ce que je trouve incroyable c'est qu'en 30-40 ans on ait réussi à faire passer les maladies infantiles comme des maladies graves. Dans quel but ?
Avec l'âge, on a du recul. Quand le premier carnet de santé a été popularisé, c'était pratique parce que chaque fois qu'un enfant avait une maladie infantile, c'était noté et lorsque qu'il y avait une "épidémie", on avait le réflexe d'aller vérifier si notre enfant avait déjà eu la maladie en question :
Si c'était le cas, et bien on savait qu'il serait épargné. Et il l'était effectivement.
Si ce n'était pas le cas , eh bien on se préparait à ce qu'il l'attrape, c'était normal. Je dirais même "naturel".
Ces maladies étaient considérées comme faisant partie de la croissance. D'ailleurs on mesurait l'enfant quand il était remis et on constatait qu'il avait grandi, on constatait une évolution chez l'enfant, comme si cette phase de repos lui permettait d'assimiler enfin certaines choses.
Il se trouve que sur le diagramme Vincent, ces maladies sont effectivement dans la zone de croissance.
Un enfant ne meurt pas d'une maladie de croissance, si un enfant en meurt c'est pour une autre raison : c'est que cet enfant a perdu sa capacité d'auto-guérison (l'immunologie ne représente qu'une faible partie de la capacité du corps à se défendre) et les raisons peuvent être diverses.
C'est le drame de notre société : les dangers sont partout, il faut arrêter de se laisser piéger par tous ces mensonges qui nous font absorber n'importe quoi parce qu'il faut produire, vendre ..... et qu'on le veuille ou non : l'idée de faire des vaccins contre les maladies de croissance n'avait pas d'autre but. Et la nature des adjuvants met en péril la santé des nourrissons à plus ou moins long terme.